L’entraineur du Racing Club de Strasbourg s’est exprimé après la victoire de ses joueurs face à Dijon (3-2) ce samedi soir au Stade de la Meinau :
Les match sont ouverts à chaque fois contre Dijon. Pour les spectateurs, c’est le genre de matches que l’on veut voir. Ça va beaucoup de l’avant, et il y a eu beaucoup d’erreurs de part et d’autres. Le terrain était délicat, ça complique la chose. Les deux équipes ont eu la volonté. Ça nous sourit à la fin, on en profite. J’ai déjà joué sur des terrains pires que celui là. Si le match avait été reporté, on se serait adapté. Ça n’a pas influé sur le spectacle, les deux équipes se sont adaptées. C’était « à la limite », je veux bien l’entendre Â… mais c’était acceptable.
On a bien démarré, et on a tout foutu en l’air en un quart d’heure. On leur a trop laissé l’initiative. Ils ont encore été dangereux sur le début de la deuxième. C’est bien d’avoir su marquer après une deuxième mi-temps plus difficile. Il y a de la qualité à Dijon quand ils ont le ballon, alors il ne faut pas leur laisser. On sait que Tavares est un super pivot et que Sliti et Sammaritano sont des feux folletsÂ… On leur a laissé la balle en fin de première et en deuxièmeÂ… A chaque match, on avance, on grandit. En deuxième mi-temps, quand on a arrêté de se projeter vers l’avant et quand on a laissé faire les attaquants, on a été beaucoup moins en danger. On continue d’apprendre. Mais on va toujours de l’avant. En Ligue 1 Conforama, il faut toujours faire un peu plus attention.
On a un ADN qui fait que l’on va toujours de l’avant. En Ligue 1 quelquefois on se brûle parce que l’on fait pas toujours attention. Si on commence à regarder le classement à mi-janvier, on va stresser dur. Ce qui est important, c’est le contenu produit sur le terrain. Propos recueillis par le site officiel de Dijon