Comme Thierry Laurey, Julien Stéphan a adopté un système en 5-3-2, ou 3-5-2 selon les phases de jeu. Opposé à une équipe de Lorient qui évolue dans le même dispositif, l’entraîneur strasbourgeois a expliqué que le dispositif de départ n’était pas figé au cours de la rencontre.
« Il y a des jeux de position qui font que les systèmes bougent beaucoup. Vous verrez Lorient comme nous, sortir le ballon différemment par moments. Ce ne sera pas toujours 3 derrière, 3 au milieu de terrain, il peut y en avoir 4 ou 5, c’est en fonction des positions. Le 3-5-2, c’est sur un tableau noir ou sur une composition officielle en début de match et après ça bouge beaucoup. Quand on va presser, quand on défend bas, quand on sort le ballon, ou quand on est dans le camp adverse, les systèmes bougent, les positions sont mouvantes et nous ne sommes plus dans un 3-5-2 à ce moment-là. C’est l’animation ».