Validé et définitivement entériné l’été dernier, après avoir été dans un premier temps adopté durant la période Covid, le principe des cinq changements par équipe et par match, au lieu de trois permet à tous les entraîneurs d’explorer plus d’options. Un changement de règles que Julien Stéphan « vit très bien à la fois dans son ‘management’ et sa faculté à agir sur les matches » en disposant de plusieurs alternatives sur le banc. Le technicien breton estime aussi que cela impacte directement le niveau d’implication de tout son groupe.