Il tire du positif. Au-delà des trois points pris – ce qui demeure le plus important au vu de la situation du Racing – Frédéric Antonetti s’est réjouit du jeu proposé par ses joueurs dans le premier acte. Il regrette toutefois la fragilité affichée par moments en seconde période, alors qu’il n’y avait pas de raison de céder à la panique.