Revenu officiellement et durablement au Racing strasbourgeois en janvier 2023, Frédéric Guilbert – qui a d’abord été prêté en Alsace entre janvier 2021 et juin 2022 avant de ronger son frein à Aston Villa pendant plus de six mois – a directement repris sa place de titulaire au cours de la deuxième moitié du dernier championnat. Participant activement au maintien de Strasbourg en Ligue 1, le latéral a été titularisé – un peu partout en défense – à 17 reprises sur 19 rencontres possibles.
Invité à revenir sur cette saison de toutes les peurs, où le club alsacien s’est sauvé in extremis lors de la 37e journée face au PSG (1-1), le natif de Valognes, qui nous a accordé un entretien d’une dizaine de minutes ce vendredi à l’issue de l’entraînement, est revenu sur l’importance d’un homme, à savoir Frédéric Antonetti, nommé entraîneur principal le 13 février dernier dans cette mission commando, et qui a réussi à trouver la formule gagnante pour que les Bleus sortent la tête de l’eau. Il a également eu un mot pour l’adjoint d’Antonetti, Benoit Tavenot, parti accomplir ses rêves d’entraîneur du côté de Dijon en National.
« Merci à ces deux hommes »
« Merci à lui ! C’est aussi grâce à lui que le Racing s’est maintenu en Ligue 1 la saison passée. Je sais qu’il a beaucoup travaillé, en dehors des horaires d’entraînement, pour pouvoir tirer le maximum de l’équipe. On peut également remercier son adjoint, Benoit Tavenot – qui est désormais coach principal de Dijon en National – et à qui je souhaite beaucoup de réussite. Il a les qualités pour être un bon coach. Merci à ces deux hommes! »
Pour rappel, le sexagénaire corse a quitté Strasbourg, d’un commun accord, le 27 juin dernier. Quelques jours plus tard, il était remplacé par Patrick Vieira…