PASCAL BRIDEL, ACTUELLEMENT OBSERVATEUR POUR L’AJ AUXERRE DEPUIS DE NOMBREUSES ANNÉES, EST UN GRAND CONNAISSEUR DU FOOTBALL. RETROUVEZ CHAQUE SEMAINE, SON ANALYSE SUR LE MONDE DU BALLON ROND DANS LA RUBRIQUE « L’ÂŒIL DE PASCAL BRIDEL ». CETTE SEMAINE, IL REVIENT SUR LE TRES BEAU WEEK-END IL Y A UNE SEMAINE…
Les 1/32 de finale de coupe de France ont, comme à leur habitude, donné lieu à des surprises, des beaux gestes ou encore des petites anecdotes qui font le charme de la compétition.
Le Poirée sur Vie petit poucet des 1/16
L’exploit le plus retentissant sera à mettre à l’actif d’un habitué des pelouses alsaciennes puisqu’évoluant dans le même groupe de CFA2 que les représentants du 67 et 68. Il faut dire que Sarreguemines a pris goût à Dame Coupe avec de beaux parcours ces dernières saisons. Eliminés au huitième tour en 2014/2015 par l’AJ Auxerre, ils ont poussé le bouchon un peu plus loin la saison suivante en boutant hors de l’épreuve Dijon (L2) au huitième tour, Valenciennes (L2) en 1/32 avant de sortir avec de grands regrets face à Granville en 1/16 de finale. A croire que Valenciennes n’a pas retenu la leçon puisque les sociétaires de Ligue 2 ont a nouveau mordu la poussière lors du huitième tour de cette centième édition avant que ce ne soit Reims, le second de la L2, qui n’a pas supporté la neige et le froid des 1/32 de finale en Lorraine. Une troisième formation de L2 viendra cette saison à Sarreguemines pour les 1/16 de finale, à savoir les Chamois Niortais. Un parcours qui a de quoi mettre du beurre dans les épinards du club de CFA2 qui n’en a peut-être pas fini d’étonner.
Pour les 1/16 de finale à venir, quoi qu’il arrive lors des trois rencontres à jouer, le petit poucet sera Le poirée sur Vie qui évolue en DH alors que l’on voyait encore cette équipe à Colmar et Strasbourg il y a peu de temps en National. Ce seront justement les Strasbourgeois qui, eux, ont pris l’ascenseur dans le sens inverse qui iront rendre visite au petit poucet.
Un juge de touche sur le terrain, un second ballon, la boule à « Z », Pithyé et un bijou
Pour le reste j’ai relevé quelques anecdotes lors de ces 1/32 de finale dont deux au stade de la Meinau, où j’ai assisté à la qualification strasbourgeoise face à Epinal. La première concerne le juge de touche qui officiait côté Tribune Nord et qui avait visiblement du mal à distinguer la ligne de touche. Ou ce sont ses yeux qui le trahissaient ou alors il craignait un dérapage incontrôlé qui aurait pu s’expliquer par une surface de terrain plus glissante à l’extérieur du terrain, l’intérieur ayant été protégé par une bâche retirée peu avant la rencontre. La seconde est à mettre à l’actif de Stéphanie Frappart et du même juge de touche qui, sur ce coup là, avaient effectivement des problèmes de vue. Pendant plusieurs minutes un second ballon était sur l’aire de jeu sans qu’aucun des deux ne bronche et il aura fallu que ce soit Jean-Luc Filser, le Mr loyal de la Meinau, qui s’en aperçoive et demande à un ramasseur de balles de monter sur la pelouse pour retirer l’intrus.
Ensuite comment ne pas relever la boule à « Z » de Damien Ott, ses cheveux étant tombés sous la tondeuse des coiffeurs d’Avranches qui ont réussi un des exploits de ces 1/16 de finale en sortant Laval qui évolue une division au-dessus, en Ligue 2 ? L’histoire ne nous dit pas si ce sont les « coiffeurs », autrement dit les remplaçants, qui ont voulu punir leur coach de les avoir mis sur le banc. Et puis le déplacement le plus long de ces 1/32 de finale aura été celui de l’Excelsior Saint-Joseph, tombeur du FC Mulhouse au tour précédent, qui se sera déplacé à Lille. Lors de cette rencontre pas de pitié pour les Réunionnais, défaits 4 à 1, si ce n’est leur unique buteurÂ… Pythié, qui a sauvé l’honneur ! Quant au beau geste de ce tour de coupe de France je le mets sur le compte de la recrue parisienne, l’Allemand Draxler, qui a inscrit le septième but du PSG face à Bastia. Un geste tout en finesse faisant preuve d’une aisance technique remarquable, un vrai bijou en la matière.
PASCAL BRIDEL, ACTUELLEMENT OBSERVATEUR POUR L’AJ AUXERRE DEPUIS DE NOMBREUSES ANNÉES, EST UN GRAND CONNAISSEUR DU FOOTBALL. RETROUVEZ CHAQUE SEMAINE, SON ANALYSE SUR LE MONDE DU BALLON ROND DANS LA RUBRIQUE « L’ÂŒIL DE PASCAL BRIDEL ». CETTE SEMAINE, IL REVIENT SUR LE TRES BEAU WEEK-END IL Y A UNE SEMAINE…
Les 1/32 de finale de coupe de France ont, comme à leur habitude, donné lieu à des surprises, des beaux gestes ou encore des petites anecdotes qui font le charme de la compétition.
Le Poirée sur Vie petit poucet des 1/16
L’exploit le plus retentissant sera à mettre à l’actif d’un habitué des pelouses alsaciennes puisqu’évoluant dans le même groupe de CFA2 que les représentants du 67 et 68. Il faut dire que Sarreguemines a pris goût à Dame Coupe avec de beaux parcours ces dernières saisons. Eliminés au huitième tour en 2014/2015 par l’AJ Auxerre, ils ont poussé le bouchon un peu plus loin la saison suivante en boutant hors de l’épreuve Dijon (L2) au huitième tour, Valenciennes (L2) en 1/32 avant de sortir avec de grands regrets face à Granville en 1/16 de finale. A croire que Valenciennes n’a pas retenu la leçon puisque les sociétaires de Ligue 2 ont a nouveau mordu la poussière lors du huitième tour de cette centième édition avant que ce ne soit Reims, le second de la L2, qui n’a pas supporté la neige et le froid des 1/32 de finale en Lorraine. Une troisième formation de L2 viendra cette saison à Sarreguemines pour les 1/16 de finale, à savoir les Chamois Niortais. Un parcours qui a de quoi mettre du beurre dans les épinards du club de CFA2 qui n’en a peut-être pas fini d’étonner.
Pour les 1/16 de finale à venir, quoi qu’il arrive lors des trois rencontres à jouer, le petit poucet sera Le poirée sur Vie qui évolue en DH alors que l’on voyait encore cette équipe à Colmar et Strasbourg il y a peu de temps en National. Ce seront justement les Strasbourgeois qui, eux, ont pris l’ascenseur dans le sens inverse qui iront rendre visite au petit poucet.
Un juge de touche sur le terrain, un second ballon, la boule à « Z », Pithyé et un bijou
Pour le reste j’ai relevé quelques anecdotes lors de ces 1/32 de finale dont deux au stade de la Meinau, où j’ai assisté à la qualification strasbourgeoise face à Epinal. La première concerne le juge de touche qui officiait côté Tribune Nord et qui avait visiblement du mal à distinguer la ligne de touche. Ou ce sont ses yeux qui le trahissaient ou alors il craignait un dérapage incontrôlé qui aurait pu s’expliquer par une surface de terrain plus glissante à l’extérieur du terrain, l’intérieur ayant été protégé par une bâche retirée peu avant la rencontre. La seconde est à mettre à l’actif de Stéphanie Frappart et du même juge de touche qui, sur ce coup là, avaient effectivement des problèmes de vue. Pendant plusieurs minutes un second ballon était sur l’aire de jeu sans qu’aucun des deux ne bronche et il aura fallu que ce soit Jean-Luc Filser, le Mr loyal de la Meinau, qui s’en aperçoive et demande à un ramasseur de balles de monter sur la pelouse pour retirer l’intrus.
Ensuite comment ne pas relever la boule à « Z » de Damien Ott, ses cheveux étant tombés sous la tondeuse des coiffeurs d’Avranches qui ont réussi un des exploits de ces 1/16 de finale en sortant Laval qui évolue une division au-dessus, en Ligue 2 ? L’histoire ne nous dit pas si ce sont les « coiffeurs », autrement dit les remplaçants, qui ont voulu punir leur coach de les avoir mis sur le banc. Et puis le déplacement le plus long de ces 1/32 de finale aura été celui de l’Excelsior Saint-Joseph, tombeur du FC Mulhouse au tour précédent, qui se sera déplacé à Lille. Lors de cette rencontre pas de pitié pour les Réunionnais, défaits 4 à 1, si ce n’est leur unique buteurÂ… Pythié, qui a sauvé l’honneur ! Quant au beau geste de ce tour de coupe de France je le mets sur le compte de la recrue parisienne, l’Allemand Draxler, qui a inscrit le septième but du PSG face à Bastia. Un geste tout en finesse faisant preuve d’une aisance technique remarquable, un vrai bijou en la matière.
PASCAL BRIDEL, ACTUELLEMENT OBSERVATEUR POUR L’AJ AUXERRE DEPUIS DE NOMBREUSES ANNÉES, EST UN GRAND CONNAISSEUR DU FOOTBALL. RETROUVEZ CHAQUE SEMAINE, SON ANALYSE SUR LE MONDE DU BALLON ROND DANS LA RUBRIQUE « L’ÂŒIL DE PASCAL BRIDEL ». CETTE SEMAINE, IL REVIENT SUR LE TRES BEAU WEEK-END IL Y A UNE SEMAINE…
Les 1/32 de finale de coupe de France ont, comme à leur habitude, donné lieu à des surprises, des beaux gestes ou encore des petites anecdotes qui font le charme de la compétition.
Le Poirée sur Vie petit poucet des 1/16
L’exploit le plus retentissant sera à mettre à l’actif d’un habitué des pelouses alsaciennes puisqu’évoluant dans le même groupe de CFA2 que les représentants du 67 et 68. Il faut dire que Sarreguemines a pris goût à Dame Coupe avec de beaux parcours ces dernières saisons. Eliminés au huitième tour en 2014/2015 par l’AJ Auxerre, ils ont poussé le bouchon un peu plus loin la saison suivante en boutant hors de l’épreuve Dijon (L2) au huitième tour, Valenciennes (L2) en 1/32 avant de sortir avec de grands regrets face à Granville en 1/16 de finale. A croire que Valenciennes n’a pas retenu la leçon puisque les sociétaires de Ligue 2 ont a nouveau mordu la poussière lors du huitième tour de cette centième édition avant que ce ne soit Reims, le second de la L2, qui n’a pas supporté la neige et le froid des 1/32 de finale en Lorraine. Une troisième formation de L2 viendra cette saison à Sarreguemines pour les 1/16 de finale, à savoir les Chamois Niortais. Un parcours qui a de quoi mettre du beurre dans les épinards du club de CFA2 qui n’en a peut-être pas fini d’étonner.
Pour les 1/16 de finale à venir, quoi qu’il arrive lors des trois rencontres à jouer, le petit poucet sera Le poirée sur Vie qui évolue en DH alors que l’on voyait encore cette équipe à Colmar et Strasbourg il y a peu de temps en National. Ce seront justement les Strasbourgeois qui, eux, ont pris l’ascenseur dans le sens inverse qui iront rendre visite au petit poucet.
Un juge de touche sur le terrain, un second ballon, la boule à « Z », Pithyé et un bijou
Pour le reste j’ai relevé quelques anecdotes lors de ces 1/32 de finale dont deux au stade de la Meinau, où j’ai assisté à la qualification strasbourgeoise face à Epinal. La première concerne le juge de touche qui officiait côté Tribune Nord et qui avait visiblement du mal à distinguer la ligne de touche. Ou ce sont ses yeux qui le trahissaient ou alors il craignait un dérapage incontrôlé qui aurait pu s’expliquer par une surface de terrain plus glissante à l’extérieur du terrain, l’intérieur ayant été protégé par une bâche retirée peu avant la rencontre. La seconde est à mettre à l’actif de Stéphanie Frappart et du même juge de touche qui, sur ce coup là, avaient effectivement des problèmes de vue. Pendant plusieurs minutes un second ballon était sur l’aire de jeu sans qu’aucun des deux ne bronche et il aura fallu que ce soit Jean-Luc Filser, le Mr loyal de la Meinau, qui s’en aperçoive et demande à un ramasseur de balles de monter sur la pelouse pour retirer l’intrus.
Ensuite comment ne pas relever la boule à « Z » de Damien Ott, ses cheveux étant tombés sous la tondeuse des coiffeurs d’Avranches qui ont réussi un des exploits de ces 1/16 de finale en sortant Laval qui évolue une division au-dessus, en Ligue 2 ? L’histoire ne nous dit pas si ce sont les « coiffeurs », autrement dit les remplaçants, qui ont voulu punir leur coach de les avoir mis sur le banc. Et puis le déplacement le plus long de ces 1/32 de finale aura été celui de l’Excelsior Saint-Joseph, tombeur du FC Mulhouse au tour précédent, qui se sera déplacé à Lille. Lors de cette rencontre pas de pitié pour les Réunionnais, défaits 4 à 1, si ce n’est leur unique buteurÂ… Pythié, qui a sauvé l’honneur ! Quant au beau geste de ce tour de coupe de France je le mets sur le compte de la recrue parisienne, l’Allemand Draxler, qui a inscrit le septième but du PSG face à Bastia. Un geste tout en finesse faisant preuve d’une aisance technique remarquable, un vrai bijou en la matière.
PASCAL BRIDEL, ACTUELLEMENT OBSERVATEUR POUR L’AJ AUXERRE DEPUIS DE NOMBREUSES ANNÉES, EST UN GRAND CONNAISSEUR DU FOOTBALL. RETROUVEZ CHAQUE SEMAINE, SON ANALYSE SUR LE MONDE DU BALLON ROND DANS LA RUBRIQUE « L’ÂŒIL DE PASCAL BRIDEL ». CETTE SEMAINE, IL REVIENT SUR LE TRES BEAU WEEK-END IL Y A UNE SEMAINE…
Les 1/32 de finale de coupe de France ont, comme à leur habitude, donné lieu à des surprises, des beaux gestes ou encore des petites anecdotes qui font le charme de la compétition.
Le Poirée sur Vie petit poucet des 1/16
L’exploit le plus retentissant sera à mettre à l’actif d’un habitué des pelouses alsaciennes puisqu’évoluant dans le même groupe de CFA2 que les représentants du 67 et 68. Il faut dire que Sarreguemines a pris goût à Dame Coupe avec de beaux parcours ces dernières saisons. Eliminés au huitième tour en 2014/2015 par l’AJ Auxerre, ils ont poussé le bouchon un peu plus loin la saison suivante en boutant hors de l’épreuve Dijon (L2) au huitième tour, Valenciennes (L2) en 1/32 avant de sortir avec de grands regrets face à Granville en 1/16 de finale. A croire que Valenciennes n’a pas retenu la leçon puisque les sociétaires de Ligue 2 ont a nouveau mordu la poussière lors du huitième tour de cette centième édition avant que ce ne soit Reims, le second de la L2, qui n’a pas supporté la neige et le froid des 1/32 de finale en Lorraine. Une troisième formation de L2 viendra cette saison à Sarreguemines pour les 1/16 de finale, à savoir les Chamois Niortais. Un parcours qui a de quoi mettre du beurre dans les épinards du club de CFA2 qui n’en a peut-être pas fini d’étonner.
Pour les 1/16 de finale à venir, quoi qu’il arrive lors des trois rencontres à jouer, le petit poucet sera Le poirée sur Vie qui évolue en DH alors que l’on voyait encore cette équipe à Colmar et Strasbourg il y a peu de temps en National. Ce seront justement les Strasbourgeois qui, eux, ont pris l’ascenseur dans le sens inverse qui iront rendre visite au petit poucet.
Un juge de touche sur le terrain, un second ballon, la boule à « Z », Pithyé et un bijou
Pour le reste j’ai relevé quelques anecdotes lors de ces 1/32 de finale dont deux au stade de la Meinau, où j’ai assisté à la qualification strasbourgeoise face à Epinal. La première concerne le juge de touche qui officiait côté Tribune Nord et qui avait visiblement du mal à distinguer la ligne de touche. Ou ce sont ses yeux qui le trahissaient ou alors il craignait un dérapage incontrôlé qui aurait pu s’expliquer par une surface de terrain plus glissante à l’extérieur du terrain, l’intérieur ayant été protégé par une bâche retirée peu avant la rencontre. La seconde est à mettre à l’actif de Stéphanie Frappart et du même juge de touche qui, sur ce coup là, avaient effectivement des problèmes de vue. Pendant plusieurs minutes un second ballon était sur l’aire de jeu sans qu’aucun des deux ne bronche et il aura fallu que ce soit Jean-Luc Filser, le Mr loyal de la Meinau, qui s’en aperçoive et demande à un ramasseur de balles de monter sur la pelouse pour retirer l’intrus.
Ensuite comment ne pas relever la boule à « Z » de Damien Ott, ses cheveux étant tombés sous la tondeuse des coiffeurs d’Avranches qui ont réussi un des exploits de ces 1/16 de finale en sortant Laval qui évolue une division au-dessus, en Ligue 2 ? L’histoire ne nous dit pas si ce sont les « coiffeurs », autrement dit les remplaçants, qui ont voulu punir leur coach de les avoir mis sur le banc. Et puis le déplacement le plus long de ces 1/32 de finale aura été celui de l’Excelsior Saint-Joseph, tombeur du FC Mulhouse au tour précédent, qui se sera déplacé à Lille. Lors de cette rencontre pas de pitié pour les Réunionnais, défaits 4 à 1, si ce n’est leur unique buteurÂ… Pythié, qui a sauvé l’honneur ! Quant au beau geste de ce tour de coupe de France je le mets sur le compte de la recrue parisienne, l’Allemand Draxler, qui a inscrit le septième but du PSG face à Bastia. Un geste tout en finesse faisant preuve d’une aisance technique remarquable, un vrai bijou en la matière.