Ce samedi, le Racing, qui n’a plus rien à jouer cette saison se déplace sur la pelouse de Dijon, club qui lutte pour sa survie en Ligue 1. à un peu plus de 48 heures du coup d’envoi de ce match, petite présentation du DFCO.
Un début de saison sur les chapeaux de roue
Trois matches, trois victoires, 8 buts marqués 1 encaissé. Voilà le bilan de Dijon au mois d’Août. à la fin de l’été, rien ne laissait présager une saison de galère pour une équipe qui s’était maintenue plus que tranquillement lors de la saison 2017/2018, terminant 11ème avec 48 points. Mais après ce mois d’août fulgurant, le trou d’air qui allait suivre allait mettre la tête sous l’eau au DFCO. Une série de douze matches sans victoires entre le 1er septembre et le 2 décembre et les Dijonnais se retrouvent en mauvaise posture. Privés d’éléments clés, notamment le prometteur latéral Valentin Rosier et avec une attaque en berne, Wesley Saïd, le meilleur buteur du club cette saison est à quatre petites réalisations quant à Julio Tavares il n’a lui plus trouvé le chemin des filets depuis le mois d’août. Des paramètres qui peuvent expliquer la difficile saison Dijonnaise.
Une équipe à réaction ?
Si à l’intersaison, Olivier Dall’Oglio, entraineur emblématique du DFCO s’est vu être remercié au profit d’Antoine Kombouaré, on pensait alors les Dijonnais lancés sur une dynamique nouvelle, il n’en a rien été. Avec seulement 3 victoires sur la phase retour respectivement contre Monaco, Guingamp et Lyon, les Dijonnais se rendent la vie difficile. Et même si sur certains matches la chance ne leur à pas souri, il en faudra plus aux Dijonnais pour se sauver. Antoine Kombouaré, habitué des situations difficiles saura-t-il trouver les mots pour remobiliser ses troupes en vue de l’opération maintien ? Le Racing est prévenu, méfiance donc, à la réaction d’orgueil des Dijonnais, à qui il reste trois finales pour se sauver et ne pas tomber en Ligue 2, division que le club n’a plus connue depuis la saison 2015/2016.