Le coach du Racing a répondu aux questions des journalistes après la lourde défaite concédée en Corse face à l’AC Ajaccio (4-2) alors que son équipe menait 2-0 après un quart d’heure de jeu.
On a fait une superbe entame de match en menant 2-0 après 17 minutes. Après ça, rideau ! Le match a tourné en une minute, c’est difficile pour moi d’expliquer l’inexplicable. Il y a beaucoup de réflexion, car les errances que nous avons, cela fait un moment qu’elles existent. Peu importe les changements, ce sont les mêmes maux à chaque rencontre. On a mis trois attaquants pour mettre la pression sur Ajaccio et je ne le regrette pas. Nous aurions pu mettre n’importe quel système. À partir du moment où c’est aussi facile de nous attaquer, c’est compliqué de gagner un match.
Est-ce que vous vous sentez toujours l’homme de la situation à Strasbourg ?
Je ne sais pas si l’on peut devenir un problème quand on était la solution quatre mois auparavant. Je n’en sais rien, ce n’est pas à moi de répondre. La force et l’énergie, je l’ai ça c’est clair ! J’avais conscience depuis le départ qu’on aurait une saison beaucoup plus compliquée. Aussi difficile avec autant de différences de performances à certains postes, pas forcément, mais cela fait partie de la vie d’un entraîneur. Je ne lâcherai rien ! Pour le reste, ce n’est pas moi qui peux répondre.