Satisfait de ce point du match nul accroché miraculeusement contre l’OM (2-2) samedi soir à la Meinau, Lucas Perrin regrette toutefois que le Racing ait attendu d’être mené 2-0 pour commencer à exister dans cette rencontre. L’ex-Marseillais sait que la solidarité collective, notamment grâce aux entrants comme à Toulouse (2-2), a grandement contribué au sursaut strasbourgeois dans les vingt dernières minutes.