Interrogé par les DNA, Ludovic Ajorque est revenu en détails sur sa blessure survenue contre Clermont (0-0) le 11 septembre dernier. Il se confie sur les douleurs quotidiennes qui ont suivi cet épisode.
Ludovic Ajorque manquera le déplacement au Stadium, dimanche, pour y affronter Toulouse. S’il espère faire son retour à la Meinau contre l’OM, le 29 octobre prochain, le géant réunionnais concède que les douleurs sont encore présentes. Des douleurs au thorax, provoquées par un enfoncement du sternum avec fissure survenu contre Clermont (0-0) le 11 septembre dernier, et qui lui ont causé des difficultés à respirer. « Après ce match, c’était compliqué. Même dans la vie quotidienne. J’avais mal tout le temps. Pour dormir c’était difficile aussi, a-t-il confié à nos confrères des DNA. Maintenant, c’est beaucoup mieux. J’arrive à avoir moins de douleurs dans le quotidien, ça avance », a ajouté Ajorque.
Une indisponibilité prolongée
Si son retour se précise, l’avant-centre du Racing, absent depuis plus de cinq semaines, ne pensait pas que sa durée d’indisponibilité allait être si conséquente. « Après Clermont, j’avais fait des images. On pensait que ça allait durer une semaine ou 15 jours au maximum. Après une nouvelle imagerie, on a vu qu’il y avait une fissure. Un spécialiste nous a dit que ça allait durer entre six et huit semaines », a raconté au quotidien régional le meilleur buteur de Strasbourg au XXIe siècle. Une blessure qui aurait pu être évitée pour « quelques centimètres » comme lui a confié son docteur. « Malheureusement, je prends le coup à l’endroit où il n’y a pas de protection, directement dans l’os », a-t-il révélé dans cet entretien.