Légèrement décrié à force de mettre un onze différent à chaque rencontre, l’actuel entraineur du Racing Club de Strasbourg Alsace, Thierry Laurey a précisé qu’il ne faisait pas tourner par plaisir.
» Trouver des solutions. C’est le revers de la médaille quand on dispute quatre matches en douze jours : un garçon se blesse, d’autres sont carbonisés. Parfois, certaines choses s’expliquent par le rythme auquel les joueurs sont soumis. Alors, je suis obligé de faire tourner. Je ne le fais pas par pur plaisir. Je ne suis pas maso. J’essaie juste de bâtir la meilleure équipe possible. Et aujourd’hui, pour bâtir la meilleure équipe possible, je veux apporter de la fraîcheur, parce que sans cette fraîcheur, nous n’y arriverons pas. »